Algérie, la gendarmerie dans le mouvement


Dimanche, le général-major Menad Nouba a pris le commandement de la gendarmerie algérienne. Une information passée quelque peu inaperçue après l’annonce retentissante du limogeage du « général Toufik », surnom de Mohamed Mediène, patron depuis un quart de siècle du Département du renseignement et de la sécurité (DRS). Celui-ci a été remplacé par son ancien n°2. 
A la tête de la gendarmerie le scénario est voisin. C’est l’ancien chef d’état-major qui succède à son ex-patron, Ahmed Bousteila, lui aussi mis à la retraite mais après avoir été promu au grade de général de corps d’armée. Considéré comme proche du président Bouteflika, Bousteila sera resté quinze ans à la tête de la gendarmerie. Son départ intervient alors que trois de ses généraux venaient d’être limogés, « en même temps que plusieurs commandants de groupements territoriaux, qui venaient tout juste d’être promus au grade de colonel », soulignait très récemment le quotidien francophone Liberté.

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