La Légion et les Ukrainiens
En Ukraine, parmi les combattants venus défendre le territoire certains se prétendent anciens de la Légion étrangère. Un phénomène assez classique qu’un porte-parole de l’institution, cité ce matin par le JDD, démentait « 80 % n’ont jamais été légionnaires. »
En revanche, 702 Ukrainiens y ont vraiment signé un contrat d’engagement.
Le général Alain Lardet, le COMLE, avait annoncé le 1er mars aux képis blancs qui en sont originaires qu'ils pourraient se rendre dans certains pays limitrophes afin de "recueillir leur famille", sur autorisation. Une mesure destinée à freiner les désertions. Aujourd’hui, 63 défections ou absences irrégulières ont été constatées.
Par ailleurs, 70 familles ukrainiennes ont été accueillies à Marseille au Centre des convalescents et des permissionnaires de la Légion étrangère (CCPLEM) en partenariat avec l’Ordre de Malte.
En revanche, 702 Ukrainiens y ont vraiment signé un contrat d’engagement.
Le général Alain Lardet, le COMLE, avait annoncé le 1er mars aux képis blancs qui en sont originaires qu'ils pourraient se rendre dans certains pays limitrophes afin de "recueillir leur famille", sur autorisation. Une mesure destinée à freiner les désertions. Aujourd’hui, 63 défections ou absences irrégulières ont été constatées.
Par ailleurs, 70 familles ukrainiennes ont été accueillies à Marseille au Centre des convalescents et des permissionnaires de la Légion étrangère (CCPLEM) en partenariat avec l’Ordre de Malte.