Australian and New Zealand Army Corps
Ce week-end a été marqué par les commémorations de l'ANZAC Day, en
Australie, en Nouvelle-Zélande mais aussi en France, notamment
dans la Somme au Mémorial national australien à Villers-Brettoneux ou à Bullecourt dans le Pas-de-Calais, où 10 000 Australiens sont morts au printemps 1917. Cette journée commémore l'engagement du corps expéditionnaire formé par ces deux pays du Pacifique Sud lors de la Première
Guerre mondiale.
Cette année 2015 correspond au centenaire du débarquement des
forces venues d’Océanie sur les plages des Dardanelles, à Gallipoli (actuelle
Turquie). Près de 2800 soldats néo-zélandais y ont péri et près de 5000 autres ont
été blessés. Sur les quelque 50 000 australiens participant à cette bataille, 8700
sont morts et 18000 furent blessés. La bataille dura neuf mois. Ces combats du corps expéditionnaire sont désormais considérés comme un des actes fondateurs de ces deux nations.
Au cours de la Première Guerre mondiale, les troupes néo-zélandaises ont perdu 18 000 hommes. 46.000 militaires australiens ont été tués.
La Première Guerre Mondiale a également constitué un baptême du feu
pour des soldats membres de bataillons « indigènes ». Le gouvernement de Wellington envisage la construction d’un mémorial dédié aux Océaniens de la
Grande Guerre.
Ils furent environ un demi-millier à former le Pioneer Bataillon. Ils étaient Maori de Nouvelle-Zélande, mais aussi originaires des îles Cook, de Niue, de Fidji, de Kiribati et même de Polynésie française.
Avant même d’affronter les combats, ils furent frappés par les conditions climatiques. Beaucoup moururent de maladies notamment dans le Nord de la France (avec Flash d'Océanie).
Au cours de la Première Guerre mondiale, les troupes néo-zélandaises ont perdu 18 000 hommes. 46.000 militaires australiens ont été tués.
Ils furent environ un demi-millier à former le Pioneer Bataillon. Ils étaient Maori de Nouvelle-Zélande, mais aussi originaires des îles Cook, de Niue, de Fidji, de Kiribati et même de Polynésie française.
Avant même d’affronter les combats, ils furent frappés par les conditions climatiques. Beaucoup moururent de maladies notamment dans le Nord de la France (avec Flash d'Océanie).