Les tatouages légionnaires
Pendant plus de vingt ans, Victor Ferreira à porté le képi blanc. Après avoir quitté l'institution, fin 2007 l'adjudant-chef (e.r.) s'est livré durant trois années à une recherche sur les tatouages légionnaires. Il a ainsi pu photographier des dizaines d'hommes, "des durs, des tatoués", pour reprendre un expression en vogue, naguère.
Le tatouage est un langage de légionnaire ; écriture et parole. Discret, envahissant, impressionnant, fleur bleue, classique, inédit, le tatouage manifeste souvent un sentiment d’appartenance. Les motifs sont divers : grenade, képi blanc, béret vert, le Christ sur la croix, la Vierge, un visage féminin, des initiales, le combat de Camerone, des squelettes, des armes, le matricule, des oiseaux, des papillons…Il peut marquer également la fidélité à un régiment et figurer sur toutes les parties du corps, y compris la langue et les lèvres.Il est également message.
Quarante photos de Victor Ferreira sont exposées jusqu'au 1er septembre au musée de la Légion, à Aubagne. En voici trois.
Le tatouage est un langage de légionnaire ; écriture et parole. Discret, envahissant, impressionnant, fleur bleue, classique, inédit, le tatouage manifeste souvent un sentiment d’appartenance. Les motifs sont divers : grenade, képi blanc, béret vert, le Christ sur la croix, la Vierge, un visage féminin, des initiales, le combat de Camerone, des squelettes, des armes, le matricule, des oiseaux, des papillons…Il peut marquer également la fidélité à un régiment et figurer sur toutes les parties du corps, y compris la langue et les lèvres.Il est également message.
Quarante photos de Victor Ferreira sont exposées jusqu'au 1er septembre au musée de la Légion, à Aubagne. En voici trois.
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