Les femmes au centre du premier numéro de la Revue de recherche sur le renseignement
Il y a eu un effet « Bureau des légendes » pour la DGSE. Tant la série a été appréciée et continue de l’être. Un effet sergent-recruteur. Succès lié à l’atmosphère, aux sujets abordés, aux personnages et à ceux qui les incarnent. Ainsi « Philomène » alias de Marina Loiseau.
Un choix judicieux des responsables du casting que de retenir Sara Giraudeau pour camper cette agente qui partira en « séjour » longue durée dans des pays « rudes » comme l’Iran, mais en réalité des terres de mission pour des professionnels du renseignement. Une jeune femme du XXIe siècle, avec son engagement, la force impulsée par son âge, ses convictions, ses doutes, ses peurs… Une professionnelle nécessairement passe-partout pour un tel job.
Incarner un métier
C’est elle, Sara Giraudeau, que le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et les éditions Mareuil ont choisi pour représenter, en couverture de la Revue de recherche sur le renseignement, les femmes engagées ou qui l’ont été dans ce secteur.
Une publication de 220 pages dont le premier numéro paraitra vendredi. Qui propose, par exemple, de suivre à différentes époques, Etta Palm, espionne « féministe » hollandaise à la cour de Louis XVI et pendant la Révolution, Louise de Bettignies « La Jeanne d’Arc du Nord » pendant le Première Guerre mondiale, Jeanne Georgel, l’agente de « petite envergure » au service de l’Allemagne.
C’est elle, Sara Giraudeau, que le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et les éditions Mareuil ont choisi pour représenter, en couverture de la Revue de recherche sur le renseignement, les femmes engagées ou qui l’ont été dans ce secteur.
Une publication de 220 pages dont le premier numéro paraitra vendredi. Qui propose, par exemple, de suivre à différentes époques, Etta Palm, espionne « féministe » hollandaise à la cour de Louis XVI et pendant la Révolution, Louise de Bettignies « La Jeanne d’Arc du Nord » pendant le Première Guerre mondiale, Jeanne Georgel, l’agente de « petite envergure » au service de l’Allemagne.
Cette revue entend servir de « pont entre les chercheurs et le monde des praticiens » explique Philippe Baumard, directeur du laboratoire sécurité, défense Renseignements du CNAM. L’éditeur Louis de Mareuil précise que dans ce premier numéro « les chercheurs et auteurs proposent une analyse à la fois des mécanismes de l’engagement féminin, des facteurs historiques de ce basculement, ainsi que des enjeux du renseignement au féminin. » En septembre prochain, la revue devrait traiter des opérations clandestines dans le renseignement.
Cette Revue de recherche sur le renseignement sera en vente dans les librairies.
Cette Revue de recherche sur le renseignement sera en vente dans les librairies.