Pakistan, haro sur le Rafale et la France
Dans sa confrontation militaire avec le Pakistan, les Rafale de l’Indian Air Force ont récemment frappé neuf sites ennemis, faisant de nombreuses victimes.
Islamabad a aussitôt organisé une riposte sur le champ informationnel. Avec pour objectif de transformer un échec stratégique en succès de communication.
Narratif qui met en avant la destruction de 5 avions indiens dont 3 Rafale, sans apporter de preuves.Toutefois, selon nos informations, l’hypothèse de la destruction d’un chasseur de Dassault aviation pourrait être crédible.
Fake news
Cette campagne de désinformation repose sur un dénigrement exclusif, sur les réseaux sociaux, du Rafale et de l’industrie de défense française. Parmi les fake news utilisées, un refus de Paris de fournir les codes sources à New Delhi afin d’améliorer les performances de l’appareil. D’autres contenus affirment que la France exigerait de l’Inde de ne plus utiliser les Rafale contre son ennemi. Et, enfin, que l’Indonésie aurait annulé sa commande de l’appareil « omnirole ».
Appareils russes et chinois
Cette manœuvre de dénigrement permet de valoriser des matériels concurrents, chinois et russes moins performants. Pourtant des avions de fabrication russes utilisés par les Indiens (dont un Su-30MKI et un MiG-29) semblent avoir été abattus lors de ces affrontements entre les deux pays. Etonnament, la propagande pakistanaise ne met pas en avant ces potentiels succès.
Le PCC à la manoeuvre
Ces narratifs de bashing du Rafale sont repris avec gourmandise par des sphères proches du Parti communiste chinois. Campagne qui a permis au constructeur Chengdu Aircraft Corporation d’enregistrer une hausse de son cours en bourse.
Les Iraniens ont également critiqué les Rafale ainsi que les Américains, ravis de déprécier un concurrent.
Fake news
Cette campagne de désinformation repose sur un dénigrement exclusif, sur les réseaux sociaux, du Rafale et de l’industrie de défense française. Parmi les fake news utilisées, un refus de Paris de fournir les codes sources à New Delhi afin d’améliorer les performances de l’appareil. D’autres contenus affirment que la France exigerait de l’Inde de ne plus utiliser les Rafale contre son ennemi. Et, enfin, que l’Indonésie aurait annulé sa commande de l’appareil « omnirole ».
Appareils russes et chinois
Cette manœuvre de dénigrement permet de valoriser des matériels concurrents, chinois et russes moins performants. Pourtant des avions de fabrication russes utilisés par les Indiens (dont un Su-30MKI et un MiG-29) semblent avoir été abattus lors de ces affrontements entre les deux pays. Etonnament, la propagande pakistanaise ne met pas en avant ces potentiels succès.
Les avions de combat chinois n'offrent pas non plus des garanties maximum. Un matériel dont est doté l’armée de l’air pakistanaise (avec des J-10 et J-7). Rappelons que dans l'histoire récente, l’armée birmane a d’immobilisé plusieurs JF-17 chinois. Et que l’armée nigériane a constaté des problèmes également sur ses F-7 chinois.
Le PCC à la manoeuvre
Ces narratifs de bashing du Rafale sont repris avec gourmandise par des sphères proches du Parti communiste chinois. Campagne qui a permis au constructeur Chengdu Aircraft Corporation d’enregistrer une hausse de son cours en bourse.
Les Iraniens ont également critiqué les Rafale ainsi que les Américains, ravis de déprécier un concurrent.
Photo : ©Dassault Aviation