La réalité de la guerre pour les Nord-Coréens


Ils s’appellent Kim Yong -bok, Sin Kum-choi, Ri Pong-chun. Le premier est n°2 de l’état-major général de l’armée populaire de Corée du Nord (APC), le deuxième, directeur du bureau des opérations et le troisième à la tête des forces spéciales, les Storm Corps. Ajoutons à ce trio de généraux, un spécialiste des missiles, Ri Song-Jin. Tous auraient été déployés en Russie pour participer à « l’opération spéciale » contre l’Ukraine et font partie d’une « liste noire » publiée par la Corée du Sud.

Barrière de la langue
Sur le terrain, selon des informations fournies par le renseignement militaire ukrainien (HUR MOU), « quelques 200 soldats et nord-coréens ont été tués », en fin de semaine dernière lors d’opérations d’assaut combinées. En cause, la barrière linguistique. Les soldats envoyés par Pyongyang auraient ouvert le feu « sur des véhicules du bataillon Akhmat », des forces tchétchènes, alliées, envoyées par Ramzan Kadyrov. D’autres combattants asiatiques auraient été tués près de Koursk, rapporte l’agence de presse sud-coréenne Yonhap, citant également des sources ukrainiennes.

Illustration : affiche de propagance nord coréenne, DR

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