- absence de réponse étayée en temps et en heure aux questions
posées
- sélection arbitraire des journalistes ayant accès à
certaines sources
- pressions exercées sur des journalistes, en particulier à
la suite d’articles ayant « déplu »
- mensonges, délibérés ou non, de la part des communicants.
- traitement sur le même plan des journalistes
professionnels et des influençeurs. »
L’AJD souligne que
le fait d’alimenter les journalistes professionnels « en temps et en heure
est la meilleure façon de lutter contre les informations erronées ou fake news. Que servir en priorité, voire
en amont, les spécialistes des questions de défense est aussi le gage d’obtenir
une information de qualité sur des sujets complexes qui nécessitent de la mise
en perspective. »