Le JNIM affirme avoir tué plus de 70 militaires maliens à Bamako, mardi
C’est un nouveau revers pour la junte du colonel Assimi Goïta. 70 militaires maliens tués, voire plus, à Bamako, mardi lors de l’attaque par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM) lié à Al-Qaïda, de deux objectifs. L’école de gendarmerie et la zone militaire de l’aéroport de la capitale malienne.
Les autorités de transition évoquent seulement « quelques pertes en vies humaines ». La propagande du JNIM, elle, parle « d’une centaine de tués ». Différentes sources à Bamako, civiles et militaires, évoquent effectivement un bilan très élevé. Une vingtaine de victimes auraient été tuées lors de l’assaut de l’école de gendarmerie. Les autres l’ont été sur la base aérienne sur laquelle se trouvaient également des miliciens de Wagner. Des avions et des hélicoptères de l’armée de l’air malienne auraient été détruits.
C’est la deuxième attaque meurtrière menée par les jihadistes après celle de Tin Zouatine (frontière avec l’Algérie), fin juillet. Le « Cadre stratégique permanent » affirmait alors avoir tué 41 militaires maliens et 84 mercenaires de Wagner.
Les autorités de transition évoquent seulement « quelques pertes en vies humaines ». La propagande du JNIM, elle, parle « d’une centaine de tués ». Différentes sources à Bamako, civiles et militaires, évoquent effectivement un bilan très élevé. Une vingtaine de victimes auraient été tuées lors de l’assaut de l’école de gendarmerie. Les autres l’ont été sur la base aérienne sur laquelle se trouvaient également des miliciens de Wagner. Des avions et des hélicoptères de l’armée de l’air malienne auraient été détruits.
C’est la deuxième attaque meurtrière menée par les jihadistes après celle de Tin Zouatine (frontière avec l’Algérie), fin juillet. Le « Cadre stratégique permanent » affirmait alors avoir tué 41 militaires maliens et 84 mercenaires de Wagner.
