Les 2 pompiers tués à Paris, cités à l'ordre de la Nation

Le sergent Simon Cartannaz et le caporal Nathanaël Josselin, sapeurs-pompiers parisiens (BSPP), décédés le 12 janvier dernier dans le 9^ème arrondissement, « d'un grand courage et d'un dévouement exemplaire «  viennent d’être cités à l’ordre de la Nation, sur proposition du ministre de l'Intérieur. Âgés de 27 et 28 ans, Nathanaël Josselin et Simon Cartannaz sont entrés les premiers dans une boulangerie de la rue de Trévise à Paris où est immédiatement survenue une explosion à la suite d’une fuite de gaz. Deux civiles ont également perdu la vie.

Dont acte !

 

@Ordre de la Libération

Le drapeau à croix de Lorraine flotte devant le bâtiment abritant à Paris, l’Ordre de la Libération. Où il a remplacé le drapeau tricolore. Une décision du général Christian Baptiste, son délégué national. « Pour rappeler que ce drapeau n’est pas le symbole de l’extrême-droite, comme ont pu l’affirmer certains experts qui commentaient sur des plateaux de télévision les manifestations des « gilets jaunes », mais le symbole de la France libre. » Dont acte !

Henri d’Orléans, militaire et légionnaire

 

@DR

Descendant de « Monsieur », duc d’Orléans, frère de Louis XIV, Henri VII comte de Paris est mort aujourd’hui à l’âge de 85 ans. En 1957, il avait choisi les armes. Direction l’Algérie où son frère le prince François trouvera la mort en 1960. Henri d’Orléans fait ses classes près d’Alger puis les EOR (élève officier de réserve) à Saumur. Il est affecté au 4ème régiment de chasseurs à cheval (RCC) dans le Constantinois. En 1959, il est affecté au Secrétariat général de la défense nationale. Son blog précise « qu’à ce moment- là, il rencontre souvent le général de Gaulle qui parfois lui confie des messages pour son père ». Après les accords d’Evian, direction l'Allemagne et le 5^ème régiment de hussards. En 1963, il choisit la Légion étrangère où il devient instructeur au 1^er régiment étranger de cavalerie (REC). Il y sert jusqu’en 1968 date à laquelle Henri d’Orléans quitte l’armée.

Le président sautera-t-il en parachute ?

"Je le fais, engagement pris !" Emmanuel Macron vient de répondre positivement à des commandos qui veulent le faire sauter en parachute. L'anecdote est rapportée par le site du quotidien La Dépêche. Au Pôle national des opérations aéroportées à Toulouse, le président a salué les membres des régiments issus de la 11e brigade parachutiste avant de présenter, en cette fin d'après-midi, ses voeux aux armées. En juillet 2017, Emmanuel Macron s'était fait hélitreuiller alors qu'il rendait visite, dans l'Atlantique, aux sous-mariniers du SNLE Le Terrible.

Le président de la République présentera demain à Toulouse ses vœux aux armées

Noël 2018, Tchad @Elysée.fr

La cérémonie se déroulera au Pôle national des opérations aéroportées de Toulouse Francazal, demain à 17h devant 1600 invités, militaires et civils. Auparavant, Emmanuel Macron devrait assister à une présentation de la 11e Brigade parachutiste (10 000 hommes et femmes dont 8500 d’active) par son commandant le général Patrick Collet, et du PNOAP. Ensuite, il devrait rencontrer les militaires de ces différents régiments projetés dans la bande sahélo-sahélienne (Barkhane) et assister à une démonstration effectuée par le Groupement de commandos parachutistes. L’A400m sera, également, au programme de cette après-midi.