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Affichage des articles du novembre, 2023

La Légion étrangère ? 9 400 hommes

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  @Facebook LE En moyenne, il s’écoule 17 jours entre le moment où le candidat frappe à la porte de la Légion et celui où il intègre le 4e RE pour y effectuer sa formation. Dans le cas, bien entendu, où il a été retenu pour porter le képi blanc. Chaque semaine, la Légion étrangère recrute ainsi une quarantaine d'engagés volontaires. Aujourd’hui, la Légion c’est 9 400 hommes (dont 500 officiers ou cadres blancs) nés notamment en Colombie, au Brésil et au Népal. Trois pays qui fournissent environ la moitié des effectifs de l’institution.

Les Légions

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  @DR Mon confrère Hervé Chabaud évoque aujourd’hui, à bon escient, sur X (anciennement Twitter) cette chronique de l’émission « Les Français parlent aux Français » à la BBC s’insurgeant « du détournement du mot Légion » par le gouvernement dit de Vichy.  Le 14 novembre 1941, Jacques Duquesne a, ainsi, réservé son intervention aux légions de Vichy. Tout d’abord, la Légion française des combattants* : « La seule Légion, la vraie, c’est la Légion étrangère, celle qui s’est distinguée avec courage et n’a jamais eu peur du sacrifice pour servir les couleurs de la France » explique le journaliste. Et de poursuivre avec la Légion des volontaires français contre le bolchévisme (LVF) créée quelques mois plus tôt pour aller combattre avec les Allemands, sur le front de l’Est. « C’est là ( avec la Légion étrangère ) que se trouve l’esprit de la vraie Légion et surtout pas cette Légion des volontaires français qui ne sont que des serviles auxiliaires du gouvernement de Vichy et du IIIe ...

L’antisémitisme décomplexé de retour

Le constat est implacable : l’antisémitisme décomplexé est de retour. La guerre entre Israël et le Hamas en est la cause visible. De retour, car dans l’entre-deux guerres puis lors de l’occupation, il était permanent. Un exemple : cette saillie, parmi d’autres toutes aussi immondes les unes que les autres, publiée le 12 décembre 1941 par l’hebdomadaire L’émancipation nationale , organe du parti Populaire Français (PPF) de Jacques Doriot : « Paris n’a jamais ignoré que les juifs vivaient en parasites sur la communauté française. La prospérité, la vie facile, l’incitaient à l’indulgence II les laissait faire, non sans leur témoigner à la fois du mépris et une certaine admiration (…) Il a fallu la guerre la défaite et ses conséquences pour que les Français se rendent compte de tout le mal que les juifs leur avaient fait ». Le Pays Libre , hebdomadaire collaborationniste, intitule une rubrique « Le juif chez nous » et plusieurs articles dénoncent cette présence. Dans une autre édition, tit...