dimanche 29 décembre 2019

Combien d’officiers serez-vous en 2020 ?


 
@ecole-navale.fr
L’arrêté publié, hier matin, au Journal officiel a fixé les plafonds des effectifs des militaires pour l’année 2020. Hier, nous détaillions ceux des militaires du rang, sous-officiers et officiers mariniers. Voici, aujourd’hui, ceux des officiers.
Sous-lieutenant, enseigne de vaisseau de 2e classe et personnel militaire de rang correspondant, 1 748 ; lieutenant, enseigne de vaisseau de 1e classe et personnel militaire de rang correspondant, 5 075 ; capitaine, lieutenant de vaisseau et personnel militaire de rang correspondant, 9 554 ; commandant, capitaine de corvette et personnel militaire de rang correspondant, 5 042 ; lieutenant-colonel, capitaine de frégate et personnel militaire de rang correspondant, 5 075 ; colonel, capitaine de vaisseau et personnel militaire de rang correspondant,1 825 ; général de brigade, contre-amiral et personnel militaire de rang correspondant, 211 ; général de division, vice-amiral et personnel militaire de rang correspondant, 164.

samedi 28 décembre 2019

Combien de militaires du rang, de sous-officiers et d'officiers mariniers serez-vous en 2020 ?


 
@France3
Un arrêté du 23 décembre publié, ce matin, au Journal officiel fixe les plafonds des effectifs des militaires pour l’année 2020. Voici, dans une première partie, ceux des militaires du rang, sous-officiers et officiers mariniers relevant de l’état-major des armées.
Soldat, matelot et militaire de rang correspondant, 36 629 ; caporal, quartier-maître et personnel militaire de rang correspondant, 18 138 ; caporal-chef, quartier-maître de 1ère classe et personnel militaire de rang correspondant, 30 948.
Sergent, second maître et personnel militaire de rang correspondant, 36 466 ; sergent-chef, maître et personnel militaire de rang correspondant, 21 407 ; adjudant, premier maître et personnel militaire de rang correspondant, 17 290.
Adjudant-chef, maître principal et personnel militaire de rang correspondant, 15 662 ; major et personnel militaire de rang correspondant, 2 928.

mercredi 25 décembre 2019

Du rap légionnaire pour recruter ?

Les sketches, le soir de Noël, sont autant une tradition qu’un espace de liberté et de création. Emergent, parfois, dans ces veillées Légion, des saynètes de qualité. Celle-ci, sous forme de clip de rap s’intéresse au recrutement des « Gaulois » entendez de Français. Réalisé par l’équipe des recruteurs du Poste d'information de la Légion étrangère (PILE) de Vincennes, il fait, depuis qu’il est sur Facebook et You Tube, le buzz.

https://youtu.be/_cIT8Xfxf4g

Ces sketches sont habituellement réalisés dans le huis-clos des régiments, le 24 décembre au soir. Devant la qualité de celui-ci, la Légion étrangère a choisi de le présenter sur son site officiel. 

Joyeux Noël !



La tradition veut que dans les régiments, chaque compagnie fabrique sa propre crèche avec des moyens artisanaux, laissant libre cours à l’imagination des légionnaires, qui reproduisent des scènes qui leur tiennent à cœur, empruntes de l’esprit de Noël. Ici, scène réalisée, cette année, par le 2e Régiment étranger d’infanterie (Nîmes).

mardi 24 décembre 2019

Légionnaires tués en 2016 dans une avalanche : deux à trois ans avec sursis pour quatre gradés

Quatre cadres jugés responsables de la mort de six légionnaires du 2e Régiment étranger de génie (Saint-Christol, Vaucluse), emportés par une avalanche en Savoie en 2016, ont été condamnés, vendredi 20 décembre, à deux et trois ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Lyon. Des militaires engagés dans "une combe dangereuse", trop nombreux et mal positionnés : ce sont les raisons qui ont conduit le tribunal siégeant en formation militaire à condamner deux capitaines et deux adjudants du 2e REG. Ceux-ci devront également payer des amendes allant de 2 à 3000 euros. Une dispense d'inscription de la condamnation au casier judiciaire leur a été accordée. 
Le 18 janvier 2016, Un groupe de cinquante-deux légionnaires du 2ème REG a été emporté, en début d’après-midi, par une avalanche dans le secteur du petit Argentier (Savoie). Ces légionnaires étaient en stage au groupement d’aguerrissement montagne (GAM, Modane) et participaient à un entrainement à 2200 m d'altitude (voir post des 18,19,20,22 janvier 2016).

lundi 23 décembre 2019

Algérie, mort du général Gaïd Salah


 
Le ministère algérien de la défense a publié, ce matin, cette photo noir et blanc du 19 décembre
Le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah décédé ce matin à 6h d’un arrêt cardiaque, détenait un record de longévité. Il était, en effet, le patron de l’armée algérienne depuis 2004. Il aurait eu 80 ans, le 13 janvier prochain. Le ministère de la défense a, aussitôt salué "l'un de ses vaillants héros qui est resté jusqu'à sa dernière heure fidèle à son parcours riche en grands sacrifices qu'il n'a eu de cesse de consentir depuis son adhésion, dès son jeune âge, aux rangs de l'Armée de libération nationale." Indéfectible soutien de M. Bouteflika, cet homme de l’ombre avait poussé au départ celui-ci en avril dernier, afin de donner des gages à une rue qui manifeste depuis mars, après l’annonce du président Bouteflika de briguer un cinquième mandat. Vice-ministre de la défense, le général Gaïd Salah a été à la manœuvre de l’élection présidentielle du 12 décembre qui a vu, dès le premier tour, Abdelmadjid Tebboune, remporter une compétition électorale marquée par un très fort taux d’abstention. El Djeich, revue de l’ALN, avait dans son numéro paru début décembre, appelé à une participation en force du peuple algérien qui serait "la meilleure réponse aux égarés, aux nouveaux harkis qui ont vite fait de solliciter des parties étrangères connues pour leur profonde et historique rancune…."
Après avoir prêté serment, le 19 décembre, le nouveau président de la République avait décerné la médaille de l’ordre du mérite national de rang de Sadr au général Salah (photo).

jeudi 19 décembre 2019

Le prix Erwan Bergot 2019 à Arnaud de la Grange



Journaliste au Figaro, Arnaud de La Grange a obtenu pour son roman, Le huitième soir (Gallimard), le prix Erwan Bergot, prix littéraire de l’armée de terre, qui lui a été remis, mardi soir, par le général Thierry Burkhard, chef d’état-major de l’armée de terre. Ce prix fondé en 1995 "est destiné à récompenser une œuvre grand public, écrite en langue française, célébrant un exemple d’engagement au service de la France." Le personnage principal de cet ouvrage qui a reçu, également cette année, le prix Roger Nimier, est un officier parachutiste confronté aux derniers jours de Dien Bien Phu. Jeune homme, Arnaud de La Grange avait envisagé une carrière militaire.

vendredi 13 décembre 2019

Disparition du dernier membre du Normandie-Niemen



André Peyronie, dernier survivant du « Normandie-Niémen » est décédé mardi à Anse (Rhône). Il était le dernier survivant du régiment Normandie Niemen, une unité de chasse créée en 1942 pour se battre au côté des Soviétiques (décorée de la croix de la Libération).
Fils de mineur, né en 1920, André Peyronie s’engage dans l’armée de l’air en février 1939. Il sert au 109 ème bataillon de l'Air de Tours et obtient ensuite son brevet de mécanicien à l'école de Rochefort.
Affecté à Salon-de-Provence, puis à Châteauroux, il participe à des actions de sabotage pour empêcher que des avions français ne tombent aux mains des Allemands. Il a 20 ans lorsqu’il décide de rejoindre le général de Gaulle. Homme de courage et d’abnégation, devenu mécanicien avion à Ivanovo (à 250 km nord-est de Moscou), il aurait eu cent ans en février 2020. Chevalier de la Légion d’honneur, médaillé militaire et officier de l’ordre national du Mérite, le sergent-chef Peyronnie était décoré de l’ordre russe Alexandre Nevski.

lundi 2 décembre 2019

Sur le pont Alexandre III, l'hommage aux 13 militaires

@HW


Premier hommage à Paris, à 11h30, pour les treize militaires morts, il y a une semaine au Mali. Celui des militaires et civils qui avaient pris place des deux côtés du pont Alexandre III et de l'esplanade des Invalides. Ils étaient nombreux et ont applaudi au passage des véhicules mortuaires transportant les dépouilles.



Trois morts dans l’accident d’un hélicoptère de la sécurité civile


L'hélicoptère de la Sécurité Civile "Dragon 30" qui avait décollé, hier soir, vers 22h30 de Marignane (Bouches-du-Rhône) se dirigeait vers Le Luc (Var), pour une mission de reconnaissance et de sauvetage liée aux intempéries, lorsque "les liaisons radios et radar ont été rompues", a annoncé dans un communiqué le ministère de l’Intérieur. D’importants moyens de recherche déclenchés dans le cadre du plan SATER (Sauvetage aéro-terrestre), ont permis de localiser l’épave de l’hélicoptère à 1h30, à proximité de la commune du Rove, aux portes de Marseille. Les corps de Jean Garat, pilote de la Sécurité civile, Michel Escalin, mécanicien opérateur de bord et Norbert Savornin, secouriste du Service d’incendie et de secours des Bouches-du- Rhône, ont été retrouvés sans vie.

dimanche 1 décembre 2019

Demain, l'hommage national aux Invalides


Les dépouilles mortelles des treize militaires quitteront, demain matin, l’hôpital militaire Percy (Clamart, Hauts-de-Seine) pour les Invalides (Paris). A 11h30, sur le pont Alexandre III, le cortège passera entre une haie d’honneur formée par des Parisiens, des Franciliens, des Français et des étrangers, des civils et des militaires. Ce sera la première partie de l’hommage qui leur sera rendu.

@DR
La seconde partie se déroulera, à 15h, dans la cour d’honneur des Invalides. 2500 personnes pourront y assister. Un public composé d’anonymes, de personnalités, d’élèves des villes de résidence des militaires mais aussi venus de Pau, Gap, Varces et Saint-Christol où sont implantés leurs régiments. Les maires de ces communes ont également été conviés. Ainsi que ceux des villes de naissance des treize jeunes hommes. Le président de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Keita assistera à cette cérémonie. Après son discours, Emmanuel Macron déposera la croix de la Légion d’honneur sur les cercueils.

vendredi 29 novembre 2019

Soldats morts au Mali. Le général Lecointre dément la revendication de l'EI

Capture d'écran

"La collision entre les deux hélicoptères n'est pas due à des tirs ou à une action des jihadistes qu'ils combattaient."  Ce matin, le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, a apporté, sur Radio-France Internationale (RFI), un démenti au communiqué du groupe Etat islamique au Grand Sahara (EIGS), publié hier soir. "C’est absolument faux (…) il y a collision entre deux hélicoptères, dans une opération de combat très complexe qui nécessite une très fine coordination. Et cette coordination qui est rendue complexe par le combat, qui fait partie même du combat, a entraîné cet accident. Mais pour autant, il n’y a pas eu de prise à partie par les jihadistes, qui étaient poursuivis et qui étaient marqués d’une certaine manière au sol."  Le CEMA a expliqué dans cet entretien que "l’armée française disait la vérité (…) Nous devons la vérité à nos soldats. Nous devons la vérité aux familles de nos compagnons qui sont morts." Il a, par ailleurs, expliqué que le groupe visé lors de cette opération comportait "des chefs assez importants."
François Lecointre a également réagi au sentiment antifrançais qui se développe au Sahel. "Je ne supporte plus ces rumeursles armées françaises sont au Mali pour rétablir la stabilité, et de préciser : imaginer que nous sommes là pour des richesses est injurieux."

jeudi 28 novembre 2019

La ministre des armées, le CEMA et le CEMAT à Gao

@ministère des armées

Florence Parly, ministre des armées, le général François Lecointre, chef d'état-major des armées et le général Thierry Burkhard, chef d'état-major de l'armée de terre se sont inclinés à Gao (Mali) devant les cercueils des treize militaires morts dans l'accident de deux hélicoptère lundi soir, lors d'une opération contre un groupe de djihadistes dans la vallée d'Eranga.

mercredi 27 novembre 2019

Hommage national lundi aux Invalides pour les 13 militaires


C’est lundi, dans la cour d’honneur des Invalides (Paris), qu’un hommage national sera rendu aux 13 militaires tué, il y a 48h, au Mali dans un accident entre deux hélicoptères, lors d’une opération menée contre des djihadistes. La cérémonie sera présidée par Emmanuel Macron. La ministre des armées, Florence Parly, devrait se rendre, avec le chef d’état-major, le général François Lecointre sur la base de Gao (Mali) avant le retour des corps en France.

mardi 26 novembre 2019

In memoriam, Andreï Jouk

@ministère des armées
Le sergent-chef Andreï Jouk qui a trouvé la mort au Mali, hier soir, s’était engagé à la Légion en janvier 2008. A l’issue de son instruction, ce légionnaire d'origine biélorusse, avait rejoint le 2e Régiment de génie (Saint-Christol, Vaucluse). Sapeur d’assaut, il avait, en 2016, suivi une formation d’une année, de commando montagne (section de recherche et d’intervention offensive). Il avait à ce titre été projeté, à plusieurs reprises, dans la bande sahélo-sahélienne. Il avait, également, servi en Afghanistan dans le cadre de l’opération Pamir. Andreï Jouk était marié et père de quatre enfants.

Les treize victimes

La ministre des armées a divulgué, il y a quelques minutes, le nom des treize militaires français tués au-dessus de Menaka, dans le sud-est du Mali, lors d’une collision entre deux hélicoptères, Tigre et Cougar. Accident survenu lors d’une opération menée contre des djihadistes.
Capitaine Nicolas Mégard, du 5e Régiment d’hélicoptères de combat de Pau
Capitaine Benjamin Gireud du 5e RHC
Capitaine Clément Frison Roche, du 5e RHC
Lieutenant Alex Morisse, du 5e RHC
Lieutenant Pierre Bockel, du 5e RHC
Adjudant-chef Julien Carette, du 5e RHC
Brigadier-chef Romain Salles de Saint-Paul, du 5e RHC
Capitaine Romain Chomel de Jarnieu, du 4e Régiment de chasseurs de Gap
Maréchal des logis-chef Alexandre Protin, du 4e RCh
Maréchal des logis Antoine Serre, du 4e RCh
Maréchal des logis Valentin Duval, du 4e RCh
Maréchal des logis-chef Jérémy Leusie, du 93e Régiment d’artillerie de
montagne de Varces
Sergent-chef Andreï Jouk, du 2e Régiment étranger de génie de Saint-Christol (Légion étrangère).

Mali, treize militaires français tués dans l'accident de deux hélicoptères

L’annonce vient d’être faite par l’Elysée. Treize militaires de l’opération Barkhane ont trouvé la mort, hier soir, dans une collision accidentelle de deux hélicoptères, lors d’une opération menée contre des djihadistes. Il s’agit de six officiers, six sous-officiers et d’un caporal-chef. Le président de la République a salué "avec le plus grand respect, la mémoire de ces militaires de l’armée de terre."

lundi 25 novembre 2019

Mort d'un des derniers commandos Kieffer

Il était l’un des trois derniers survivants du commando Kieffer. Jean Morel vient de décéder, à l’âge de 97 ans. En 1940, jeune homme il avait rejoint les Forces françaises libres (FFL) en Grande-Bretagne. « Je suis parti pour combattre les Allemands qui occupaient la France, je voulais libérer mon pays et ma famille », racontait Jean Morel, en juin dernier, à Cols-Bleus, le magazine de la marine nationale. Il fut des 177 Français qui débarquèrent en Normandie le 6 juin 1944. Des hommes du 1er Bataillon de fusiliers marins commandos, créé le 8 octobre 1943. Celui-ci succédait à la compagnie qui vit le jour en décembre 1941, grâce à la persévérance de Philippe Kieffer, et qui s’entraina pendant plus d’un an, en particulier en Ecosse. Une quinzaine d'hommes du commando pris part au raid du 19 août 1942 à Dieppe.
@DR
Au printemps 44, Le 1er BFMC est rattaché à l'un des plus glorieux commandos anglais, le n° 4 (lieutenant-colonel Dawson), au sein de la 1st Special Service Brigade (Brigadier General Lord Lovat). Les hommes que Kieffer a réunis, allaient être les premiers Français à débarquer pour libérer la France. Le 6 juin, les 177 "Bérets verts" débarquent à Sword Beach et prennent pied à Ouistreham ; puis à Benouville, Amfreville et Bavant. Blessé le 6 juin, refusant de se laisser évacuer pendant deux jours. « Au moment du débarquement, j’ai sauté, j’ai couru sur la plage ensuite j’ai vu Kieffer blessé qui m’a dit : “Fais vite !” » racontait Jean Morel Kieffer retrouvera son unité le 13 juillet, au moment où elle allait percer vers la Seine et Honfleur.

vendredi 22 novembre 2019

En 2020, la Légion recrutera 1750 légionnaires


@L.E.
Le processus est classique. Des légionnaires quittent la Légion au terme de leur contrat de cinq ans et il faut les remplacer. Depuis la remontée en puissance (2014), qui correspond au reformatage de la 13ème demi-brigade (13ème DBLE, Larzac, Aveyron) et la création ou recréation d'une 5ème unité de combat dans les régiments de mêlée et de génie, le volume du recrutement s’est donc accru. Ce qui a demandé un effort important au 4e Régiment étranger (Castelnaudary, Aude), unité de formation (initiale et permanente) de l’institution. L’année prochaine, la Légion étrangère (9 000 hommes) recrutera 1750 légionnaires. Pour 1250 en 2019.
Face à ces besoins, les recruteurs affirment avoir toujours le choix. 7 candidats pour un poste. Aujourd’hui, 147 nationalités sont représentées et le taux de Français qui cherchent à porter le képi blanc a augmenté pour atteindre 13%. Il y a quelques années, il était tombé en-dessous des 10%. Or la présence de francophones est déterminante pour la formation ; ceux-ci contribuant, lors des quatre mois passés à Castelnaudary, à l’apprentissage du français (langue de travail) par les engagés volontaires non francophones. L’objectif du COMLE, le général Denis Mistral, est d’atteindre, dans les prochaines années, les 20% de légionnaires francophones.
Internet demeure un sergent-recruteur efficace mais n’est pas le seul outil. Cet été, le podium de la Légion était présent sur nombre de plages françaises. L’opération sera renouvelée a l’été 2020. En outre, après le renforcement en 2017, du bureau d’information et de recrutement en Polynésie, la Légion devrait probablement en ouvrir un à la Réunion.
Enfin, évolution très importante qui conditionne les règles en vigueur : le légionnaire peut désormais disposer, à sa demande, d’un titre de séjour au bout de trois ans de service.