Disparition du dernier membre du Normandie-Niemen
Fils de mineur, né en
1920, André Peyronie s’engage dans l’armée de l’air en février 1939. Il sert au 109
ème bataillon de l'Air de Tours et obtient ensuite son brevet de mécanicien à
l'école de Rochefort.
Affecté à Salon-de-Provence, puis à Châteauroux, il participe à des actions de sabotage pour empêcher que des avions français ne tombent aux mains des Allemands. Il a 20 ans lorsqu’il décide de rejoindre le général de Gaulle. Homme de courage et d’abnégation, devenu mécanicien avion à Ivanovo (à 250 km nord-est de Moscou), il aurait eu cent ans en février 2020. Chevalier de la Légion d’honneur, médaillé militaire et officier de l’ordre national du Mérite, le sergent-chef Peyronnie était décoré de l’ordre russe Alexandre Nevski.
Affecté à Salon-de-Provence, puis à Châteauroux, il participe à des actions de sabotage pour empêcher que des avions français ne tombent aux mains des Allemands. Il a 20 ans lorsqu’il décide de rejoindre le général de Gaulle. Homme de courage et d’abnégation, devenu mécanicien avion à Ivanovo (à 250 km nord-est de Moscou), il aurait eu cent ans en février 2020. Chevalier de la Légion d’honneur, médaillé militaire et officier de l’ordre national du Mérite, le sergent-chef Peyronnie était décoré de l’ordre russe Alexandre Nevski.