Le 2ème REI et le 14 juillet
L'attentat-suicide
d'hier au Mali contre des militaires français rend encore plus emblématique la
présence des 109 légionnaires du 2ème régiment étranger d'infanterie (REI,
Nîmes) sur les Champs-Elysées. Pour deux raisons :
- plusieurs de leurs camarades ont été blessés dans l'explosion. Vraisemblablement plus de quatre. Certains de catégorie A (blessés graves) seraient en cours d'évacuation.
- parce que le 14 juillet, à la tête du régiment, se trouvera leur chef de corps, le colonel Carleton. Qui, début mars, avait remplacé au Mali, à la tête d'un groupement tactique, le colonel Héon, blessé le 21 février dans l'explosion d'une mine artisanale qui avait tué deux sous-officiers du 1er spahis.
- plusieurs de leurs camarades ont été blessés dans l'explosion. Vraisemblablement plus de quatre. Certains de catégorie A (blessés graves) seraient en cours d'évacuation.
- parce que le 14 juillet, à la tête du régiment, se trouvera leur chef de corps, le colonel Carleton. Qui, début mars, avait remplacé au Mali, à la tête d'un groupement tactique, le colonel Héon, blessé le 21 février dans l'explosion d'une mine artisanale qui avait tué deux sous-officiers du 1er spahis.