Morte pour la France…il y a un siècle

Germaine de la Valette-Montbrun a été tuée par une grenade allemande dans la Marne, le 19 octobre 1918. Elle avait 41 ans. Cette infirmière, qui était également officier de liaison, accompagnait ce jour-là des journalistes américains. Petite-nièce d’un ministre de Napoléon III, elle s’était engagée, dès août 1914, à Bergerac, raconte le quotidien Sud-Ouest. Mais si son nom figurait bien sur le monument aux morts de Mouleydier, son village de Dordogne, elle n’avait pas été reconnue, dans son acte de décès "Morte pour la France." Un siècle plus tard, cet oubli vient d'être réparé. 95 000 cas de ce type demeureraient encore non-instruits.

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