Quand les Néo-Zélandais écoutent les Polynésiens
Le gouvernement néo-zélandais
se serait livré à de activités " massives " d’espionnage, via la
surveillance des réseaux de téléphonie mobile dans plusieurs pays du Pacifique
Sud, notamment en Polynésie. Ces révélations sont extraites de documents publiés, ces dernières heures,
par Wikileaks concernant l’activité des services néo-zélandais et en
particulier leur Bureau de sécurité des télécommunications (GCSB) situé à
Waihopai (île du sud).
Autres pays écoutés : Fidji, Kiribati, Nauru, Samoa,
Salomon, Tonga, Tuvalu, Vanuatu. Ces renseignements seraient ensuite mis à
la disposition de la National Security Agency américaine (NSA), et de « l’Alliance
des cinq yeux » (Five Eyes alliance), qui lie, outre les États-Unis et la
Nouvelle-Zélande, l’Australie, le Royaume-Uni et le Canada. Après la divulgation de ces informations, on attend maintenant la réaction de Paris (avec Flash d'Océanie).