« La décence de Trump » soulignée par son homologue azerbaïdjanais

Dans une interview à la chaîne de télévision saoudienne Al-Arabiya, Ilham Aliyev, président de la République d'Azerbaïdjan, fait montre d’assauts d’amabilité pour son homologue américain, Donald Trump. Qu’il a proposé pour le prix Nobel de la paix avec le président arménien, début août, à l’issue de la signature à Washington d’un accord les engageant à « cesser définitivement » le conflit qui les oppose depuis plus de trente ans.
Voici donc en quels termes l’autocrate de Bakou parle de Donald Trump « quelqu’un qui ne correspond absolument pas à l’image traditionnelle d’un dirigeant occidental. »

« Avec mon collègue arménien, nous avons proposé le président Trump pour le prix Nobel de la paix. Il le mérite vraiment. Comme je l’ai dit lors de mes déclarations à Washington, en quelques mois, il a accompli des miracles en Afrique, en Asie et dans le Caucase du Sud. Et cela fait partie de son caractère. C’est sa nature. Il aspire à la paix. C’est quelqu’un qui ne correspond absolument pas à l’image traditionnelle d’un dirigeant occidental (…) C’est vraiment quelqu’un qui mérite un grand respect. C’était ma première rencontre avec lui, mais mon attitude envers lui en tant qu’homme politique a toujours été positive. Même pendant son premier mandat. Même si nous n’avons pas eu l’occasion de nous rencontrer à l’époque, et surtout lorsqu’il a été privé de sa réélection suite à la fraude électorale des représentants de l’« État profond ». Ils lui ont volé sa victoire. Et ce que M. Trump dit à propos de l’abolition du vote par correspondance est tout à fait exact. Vous savez, les administrations américaines aiment toujours donner des leçons au monde entier sur la façon de vivre, de construire la démocratie, d'organiser des élections, etc. Nous le savons tous très bien. Mais elles ont elles-mêmes commis la plus grande fraude électorale contre le président Trump, le privant de la victoire. Et pendant sa période d'intérim, M. Trump s'est comporté avec beaucoup de décence. Il a fait preuve d'un grand courage et d'une grande dignité en retournant aux États-Unis, où tous ces « crapauds du marais » comme l'Agence américaine pour le développement international (USAID), Radio Liberty, les producteurs de fausses informations, dont le Washington Post, le New York Times, le Wall Street Journal et Newsweek, étaient contre lui. Ils l'ont tous diabolisé, tout comme ils m'ont diabolisé, par exemple, peut-être pas au même niveau, mais de la même manière : en répandant des rumeurs... »

Photo : ©Azertac

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