Seconde Guerre mondiale, le bataillon Maori sans descendance
Le
dernier survivant du 28ème bataillon maori du Pacifique, le major Hone Hikitia Te
Rangi Waititi, vient de décéder à Auckland. Il avait quatre vingt onze ans. M. Waititil
s’était engagé en 1943 au sein de ce bataillon exclusivement composé de Maori
et d’Océaniens, intégré au corps expéditionnaire australo-néo-zélandais (ANZAC ). John the major (tel était son surnom) avait été blessé trois
fois lors de la campagne d’Italie, mais avait refusé son évacuation.
Photo : 28th Maori Bat
Des cérémonies traditionnelles Maori (le Tangi) ont également eu lieu avant ses funérailles qui se sont déroulées jeudi. Les autorités néo-zélandaises lui ont rendu hommage. Durant la Seconde Guerre mondiale, alors que l’Australie et la Nouvelle-Zélande, mettaient en place ce bataillon Maori, les communautés des possessions françaises (Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna, Polynésie française et Nouvelles-Hébrides, depuis devenues Vanuatu indépendant) constituaient elles aussi leur bataillon du Pacifique, à l’initiative du capitaine Félix Broche qui sera tué à Bir-Hakeim (En collaboration avec Flash d’Océanie, http://newspad-pacific.info/).
Photo : 28th Maori Bat
Des cérémonies traditionnelles Maori (le Tangi) ont également eu lieu avant ses funérailles qui se sont déroulées jeudi. Les autorités néo-zélandaises lui ont rendu hommage. Durant la Seconde Guerre mondiale, alors que l’Australie et la Nouvelle-Zélande, mettaient en place ce bataillon Maori, les communautés des possessions françaises (Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna, Polynésie française et Nouvelles-Hébrides, depuis devenues Vanuatu indépendant) constituaient elles aussi leur bataillon du Pacifique, à l’initiative du capitaine Félix Broche qui sera tué à Bir-Hakeim (En collaboration avec Flash d’Océanie, http://newspad-pacific.info/).
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